Ma pratique

Je reçois et travaille les types de demandes suivantes :

Les enfants qui présentent des troubles du sommeil (angoisses nocturnes), de l’alimentation, de la propreté et des difficultés de séparation sous toutes leurs formes et expressions. Dès l’âge de 18 mois.

Les enfants anxieux (ruminations, peurs paniques…) qui ont des difficultés d’estime et d’affirmation de soi en général ou dans leur scolarité (phobie scolaire, dépression, harcèlement, anxiété invalidante qui conduit à l’échec…), des relations sociales délicates avec les autres (timidité maladive, repli sur soi, vécu d’exclusion…) ou dans leur fratrie (jalousie envahissante dans le cadre familial).

Les enfants précoces dont la grande sensibilité, l’émotivité et la sagacité intellectuelle sont souvent à l’origine de profonds ressentis de différence et d’incompréhension comme de quiproquos relationnels dans leurs interactions avec les autres. Et, possiblement d’isolement et de repli sur soi. 

Les enfants diagnostiqués Tdah et / ou multi dys (nb. diagnostic nécessairement validé et confirmé par un pédopsychiatre) qui au delà des évaluations et des tests ont besoin d’un espace de parole pour s’exprimer, pour élaborer et pour mieux comprendre sinon appréhender ce qui peut ainsi faire souffrance et difficulté pour eux. Mais aussi, de mieux connaitre leur propre fonctionnement, leur rapport aux autres ou encore ce que cela implique dans leur scolarité. 

Les vécus de souffrance générés par les divorces conflictuels et leurs conséquences qui créent fréquement un conflit de loyauté chez les enfants et les adolescents. Surtout lorsqu’ils se retrouvent encombrés sinon comme écartelés et en grande difficulté pour penser par eux même et exprimer ce qu’ils pensent réellement afin de s’en dégager.

Les situations que l’on peut qualifier de drames de la vie qui impactent les enfants, les adolescents comme les jeunes adultes : décès ou hospitalisation d’un parent, d’un membre de la famille. Les enfants porteurs d’un handicap ou d’une maladie nécessitant une hospitalisation régulière ou un suivi médical vécu difficilement.

Les dépressions et les formes multiples de mises en danger chez l’adolescent (conduites à risque).

Les addictions propres à ces âges de la vie (alcool, cannabis, repli et dépendance aux supports numériques…).

Les adolescents qui présentent des troubles de l’humeur, de la gestion de leurs émotions et de la frustration (agressivité, opposition toute puissante…).

Les situations d’abus et d’agressions sexuelles.

Les adolescents pour lesquels la question de l’identité et de l’orientation sexuelle sont délicates et pour lesquels ces points constituent des questions aiguës lors de l’entrée dans la vie intime d’adulte.

Les troubles alimentaires (Troubles des Conduites Alimentaires « TCA »).

Je reçois également des parents adoptifs et leurs enfants et adolescents, y compris et très naturellement les couples Lgbt formant ce que l’on nomme les « nouvelles parentalités », en recherche d’un appui tiers et porteurs de questionnements parfois plus spécifiques et singuliers.

Les jeunes adultes dont l’éventail des âges est large, souvent de 18 à 25 ans qui connaissent de multiples difficultés (exemple : dans la poursuite de leurs études universitaires, au gré de ruptures sentimentales provoquant un possible effondrement dépressif…) pour s’inscrire dans une vie adulte stable et qui ont besoin de construire leur autonomie et leur indépendance.

J’effectue enfin un travail de guidance parentale auprès des parents en difficulté.

Psychologue généraliste en dehors de ma spécialité auprès des enfants et des adolescents, je reçois également des adultes.